samedi, avril 20, 2024

Le repas, tout un monde ! (avec « l’Age de Faire »)

« Le repas, c’est tout un monde ! » A l’approche des fêtes de Noël, « L’Age de faire« , le journal des initiatives locales qui changent le monde, nous propose dans son numéro de décembre de nous mettre autour de la table et d’explorer les différentes manières de vivre ce temps du repas.

Moment de convivialité ou simple temps nécessaire à notre alimentation, le repas se vit différemment selon les origines, le milieu social, ou la période de l’année.

De la soupe populaire au repas pédagogique sur les richesses du monde, les approches explorées dans le journal interrogent sur les manières d’appréhender cette convivialité.

Lisa Giachino est la rédactrice en chef de l’Age de Faire.

« On a voulu voir quels sens pouvaient être mis dans le repas. On a mis en avant des initiatives qui vont plus loin dans la création de convivialité… Il y a une association qui organise des soupes populaires à partir de produits bio et locaux dans la rue (La Marmite à roulettes à Pezenas, dans l’Héraut), un village qui a créé un banquet pour les touristes qui draine tous les habitants du coin… On parle aussi de récupération, ou de jeunes qui organisent des repas avec les légumes cultivés dans leur potager… Il s’agit de réfléchir à ce que l’on mange et comment on le mange, et comment faire pour que le repas soit un temps rencontre. »

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x1a1wdo_pezenas-soupe-populaire-avec-la-marmite-a-roulettes_news#from=embediframe[/dailymotion]

Temps de partage ou remède contre le repli sur soi, le repas peut aussi être pédagogique et donner à réfléchir sur la répartition des richesses mondiales. Et c’est une association étudiante qui a conçu ce « Repas insolent« .

Lisa Giachino.

« C’est un jeu de rôle. L’idée, c’est que les participants se répartissent selon les différents continents. Chaque groupe a à sa disposition de la nourriture qui correspond à la part que chaque continent a aujourd’hui dans la répartition des richesses mondiales. L’enjeu est de savoir si tout le monde aura à manger suffisamment. La pédagogie y prend tout son sens. »

A coté de ce spécial repas, le journal s’attarde sur une association, « Les invités au Festin« , qui vient en soutien aux personnes en souffrance psychiques.

 

« Cette association organise des repas avec des personnes qui sortent de séjours en établissements psychiatriques et des personnes de l’extérieur. L’idée est de se réunir pour partager un repas au-delà des situations de chacun. Un lieu de vie a aussi été créé à Besançon… Un lieu où vivent des personnes qui souffrent de troubles psychiques, avec des accompagnants de façon très conviviale. On est au-delà de la simple relation de soin. »

L’Age de Faire revient aussi sur le dossier du barrage de Sivens et sur les moyens financiers débloqués pour assurer la sécurité du site et faire régner l’ordre autour du chantier. On a vu avec quelle efficacité cela a été mis en œuvre. Un décryptage à lire sous la plume de Nicolas Bérard dans ce numéro de décembre de l’Age de Faire.

 

© L'Age de Faire
© L’Age de Faire

L’Age de Faire qui poursuit sa campagne d’abonnement nécessaire pour pérenniser l’aventure. Pour rejoindre les lecteurs de ce journal qui réinvente le monde, rendez-vous sur le site du journal.

 

 

 

 

 

 

 

Pour aller plus loin :

 

[youtube]http://youtu.be/70YLrgtAZDw[/youtube]

 

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.