jeudi, mars 28, 2024

Au revoir Antinéa, Bonjour Longitude 181!

Le temps passe et rien ne se passe !

C’est bien la conclusion que je révélais précédemment dans cette chronique, du peu de changement réalisé ces 10 dernières années pour la protection de l’environnement marin face à l’urgence et à l’irréversibilité des dégradations de tout ordre.

Rappelons que les océans souffrent de bien des maux : réchauffement climatique, pollutions diverses et variées, surpêche excessive, destruction d’écosystèmes tels que les récifs coralliens, les mangroves, les zones profondes, et j’en passe. ; sans compter les espèces marines qui disparaissent à un niveau record, tant est si bien que cela commence à se voir sur nos étals par le peu de choix offerts et la montée de l’aquaculture qui fait un effet de levier sur la raréfaction des ressources.

Et que dire des promesses de création d’aires marines protégées : des serments d’ivrognes entre états, ou des mascarades politiques qui ne sont faites que pour rassurer un électorat pas au fait de l’étendue des dégâts causés.

Arrêtons là.

Plutôt que de continuer à longueurs de semaines cette chronique qui ne fait qu’apporter une bonne nouvelle pour neuf constats de situation qui empirent, je me propose désormais de transformer cette chronique en caisse de résonance d’une ONG en relation avec la mer, qui m’est chère : Longitude 181 . Pour quoi Longitude 181, … car elle est en relation avec le milieu de la plongée sous –marine et celui de la protection des océans. Il faut dire qu’il n’y pas mieux placés qu’un plongeur pour dire ce qui se passe de l’autre côté du miroir, de nous parler de ce monde du silence qui n’a pas voix au chapitre, et d’en être le porte-voix.

Au revoir Antinéa ! ,Bonjour Longitude 181 !

 

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