On aimerait tant que l’hydrogène soit l’avenir du pétrole. Alors que les industriels buttent sur cette technologie depuis 20 ans et que la crise due au coronavirus vient brouiller un peu plus l’horizon, l’espoir est à espérer dans le long terme comme le montre l’alliance passée entre Volvo et Daimler, observe Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».