Trois semaines après la découverte de visons malades dans deux exploitations du pays où ils sont élevés pour leur fourrure, les autorités néerlandaises qualifient de “plausible” une contamination depuis les visons vers l’homme.
Trois semaines après la découverte de visons malades dans deux exploitations du pays où ils sont élevés pour leur fourrure, les autorités néerlandaises qualifient de “plausible” une contamination depuis les visons vers l’homme.