Laissée sans information, l’équipe rédactionnelle de l’hebdomadaire féminin s’inquiète. Le titre a souffert de la crise due au coronavirus, mais aussi du non-paiement de ses créances par Presstalis et de la baisse de ses annonceurs.
Laissée sans information, l’équipe rédactionnelle de l’hebdomadaire féminin s’inquiète. Le titre a souffert de la crise due au coronavirus, mais aussi du non-paiement de ses créances par Presstalis et de la baisse de ses annonceurs.