Passer d’un modèle s’appuyant sur des données « historiques » à un modèle « dynamique » est « une première » pour les épidémiologistes, qui analysent habituellement la dynamique d’épidémies terminées.
Passer d’un modèle s’appuyant sur des données « historiques » à un modèle « dynamique » est « une première » pour les épidémiologistes, qui analysent habituellement la dynamique d’épidémies terminées.