Le premier ministre a promis, lundi, des « choix forts » sans faire de mea culpa sur sa gestion des hôpitaux. Il trace un chemin vers des évolutions plus que vers une révolution.
Le premier ministre a promis, lundi, des « choix forts » sans faire de mea culpa sur sa gestion des hôpitaux. Il trace un chemin vers des évolutions plus que vers une révolution.