La réduction de la place de l’automobile doit être l’occasion de s’attaquer au déficit de logements et de locaux d’activités qui accélère le dépeuplement de la capitale, souligne, dans une tribune au « Monde », l’architecte Alain Sarfati.
La réduction de la place de l’automobile doit être l’occasion de s’attaquer au déficit de logements et de locaux d’activités qui accélère le dépeuplement de la capitale, souligne, dans une tribune au « Monde », l’architecte Alain Sarfati.