Comme dans les plus fascinants récits de Melville, Poe ou Homère, Isabelle Autissier a essuyé des vagues semblables à des murs, perdu un gouvernail dans l’Océan indien, et pleuré son camarade Gerry Roufs.
Comme dans les plus fascinants récits de Melville, Poe ou Homère, Isabelle Autissier a essuyé des vagues semblables à des murs, perdu un gouvernail dans l’Océan indien, et pleuré son camarade Gerry Roufs.