Les taux de dioxyde d’azote dans des métropoles comme Paris, Bruxelles ou Milan augmentent à toute vitesse après des mois de dégringolade pendant les confinements. La faute du trafic automobile, qui a repris de plus belle.
Les taux de dioxyde d’azote dans des métropoles comme Paris, Bruxelles ou Milan augmentent à toute vitesse après des mois de dégringolade pendant les confinements. La faute du trafic automobile, qui a repris de plus belle.