La troisième étude menée à Crépy-en-Valois, l’un des premiers foyers français de l’épidémie, confirme que les plus jeunes développent des formes bénignes et sont peu contagieux.
La troisième étude menée à Crépy-en-Valois, l’un des premiers foyers français de l’épidémie, confirme que les plus jeunes développent des formes bénignes et sont peu contagieux.