Les forêts créées et gérées par l’homme ne sont pas aussi riches en biodiversité que les forêts primaires, mais elles resteront toujours plus propices au maintien des espèces sauvages qu’un champ de maïs ou de betteraves, explique Hervé Jactel, docteur en écologie forestière, répondant dans une tribune pour « Le Monde » au botaniste Francis Hallé.