lundi, décembre 9, 2024

Sexe, océans et………nanoparticule

Nos système d’eaux usées véhiculent les urines des femmes chargées en oestrogènes . Ces hormones , après un périple via les stations d’épurations, les rivières, les fleuves , rejoignent la mer et polluent les milieux naturels. Et là, après ingestion, elles féminisent les poissons mâles !

Les composants de la pilule sont juste un exemple de ce qui se retrouve dans un cours d’eau ou en mer. D’autres médicaments, mais aussi ces produits cosmétiques , des crèmes solaires ou des lessives larguent des nanoparticules , autrement dit des particules de moins de 100 milliardième de mètre dans l’environnement. Bien entendu , tout industriel vous affirmera que ces particules sont inoffensives. Sauf qu’elles possèdent une particularité physique, qui fait , qu’une fois à l’intérieur d’un organisme, elles collent à sa surface un enrobage de protéines. Parmi ces dernières , certaines jouent un rôle très important sur l’organisme des animaux et des hommes, notamment dans la consommation de graisses.

A découvrir dans cette chronique

D. KRUPKA

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.