« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff.
Avec « 249, Faubourg Saint-Antoine » paru aux Éditions J’ai Lu après Flammarion, l’auteur, Jean Diwo, plonge le lecteur au temps de sa jeunesse, peu après la Première Guerre mondiale, celle aussi surnommée « la boucherie ».
Dans cet ouvrage, c’est l’occasion de découvrir des jeunes qui, selon l’auteur, « ne faisaient pas de fautes d’orthographe, savaient les préfectures et presque toutes les sous-préfectures, additionnaient, multipliaient, divisaient des kyrielles de chiffres et connaissaient cinquante dates importantes de l’histoire de France. »
La littérature avait bonne presse en ce temps-là, si j’ose dire : « Un homme qui ne lit pas mène une vie d’estropié… »
Merci à Jean Diwo de l’avoir rappelé et d’avoir, du coup, ressuscité un Paris évanoui.
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