« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff.
J’apprécie beaucoup Mika Waltari, célèbre auteur de romans historiques. C’est lui qui a écrit la série consacrée à « Sinouhé l’Égyptien », « L’Escholier de Dieu », dont il a déjà été question dans la présente rubrique.
Avec « Les amants de Byzance », on assiste à la chute de Constantinople au XVe siècle, on entend le cri de défi : « Plutôt le turban des Turcs que la tiare du Pape ! » et on suit les pérégrinations de Jean Ange, un aventurier fort intrigant, tombé follement amoureux de la belle Anna, la fille d’un notable, élevée comme la future épouse de l’empereur.
Dans cet imposant ouvrage, j’ai relevé trois phrases qui prêtent à la réflexion :
« Un homme qui se noie ne compte pas son argent. »
« Avec les mêmes mots, les hommes disent des choses différentes. »
« L’infini ne peut pas s’exprimer par des mots. »
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