« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff.
Avec les « Flammes de l’éternité », le second tome du remarquable roman historique « Hélène de Troie » de Margaret George, c’est le destin d’une reine à l’incomparable beauté mais vouée à l’hostilité de tout un peuple, qu’il est question.
Et, dès les premières pages de ce deuxième ouvrage qui en compte plus de cinq cents, le lecteur est mis au parfum, si j’ose dire :
« Nous savons qu’au fil des siècles les faits s’effacent et seuls demeurent quelques souvenirs. Peut-être la belle Hélène restera-t-elle dans la mémoire des hommes, la cause d’une guerre entre les Grecs et les Troyens. À moins d’empêcher ce conflit d’éclater… » dit-on à ladite Hélène, qui venait de quitter son mari Ménélas, leur enfant, le peuple grec, pour suivre Pâris à Troie.
La Guerre de Troie aura-t-elle lieu ?, est une question récurrente qui prend une intensité dramatique au fil de cette exceptionnelle fresque romanesque et historique racontée avec talent par cette historienne reconnue pour la méticulosité de ses recherches.
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