« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff.
Cela me rappelle qu’en 1973, j’avais été sublimé par la chanson « Il n’y a plus rien » de Léo Ferré…
Musique : Léo Ferré, enregistrement en public en 1972 https://www.youtube.com/watch?v=qOm9D46MHuY
Poursuivons la lecture d’Alexandre Jardin : « Comme je le crie dans ce livre, le vrai problème c’est nous. Donc la solution c’est nous. »
Que préconise l’auteur ? « Des citoyens à l’œuvre, des Faizeux pas des Diseux ! Des courageux actifs qui règlent nos problèmes, non pas à notre place mais avec nous. Plus de deux cents solutions concrètes ont déjà été fédérées en moins de deux années depuis que le mouvement « Bleu Blanc Zèbre » a été lancé. « Un mouvement civique, une révolution solidaire et pragmatique. »
Mais, pourquoi, donc, Alexandre Jardin se lança-t-il dans pareille aventure citoyenne ? J’ai retenu une explication parmi d’autres : « Je ne voulais pas perdre ma confiance ensoleillée dans l’Homme au contact du cynisme politique ; et finir vinaigre, moralement détérioré et décharmé de tout ce qui compte par un milieu sans joie qui tient la capacité à tuer pour une haute vertu. »
Photo Léo Ferré : Universal Music France
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