mercredi, mai 21, 2025
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Un très mauvais polar (UNESCO)

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« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff.

Il y a des expositions qui se lisent comme des livres. Celle, itinérante et en plein air présentée dans le monde entier (à San Francisco, Paris, Bruxelles, Mons, au Mexique, en Chine…), qui est consacrée par l’UNESCO aux effets désastreux du réchauffement climatique vus de satellites, ressemble à un très mauvais polar.

Des photographies et des légendes montrent (et démontrent, pour les sceptiques) que des sites du patrimoine mondial sont touchés par cette catastrophe. En voici quelques exemples frappants, si j’ose dire, et des prévisions dramatiques : disparition des coraux et des tortues au Parc de Komodo, retrait des glaciers de l’Everest avec 30% de la couverture neigeuse et de glace sur quarante ans, disparition des glaciers du Kilimandjaro, 43% de la surface terrestre de l’Afrique potentiellement sujette à la désertification, disparition des zones humides dans le Parc Naturel de l’Ichkeul, blanchiment des coraux de la Grande Barrière (photo), le plus grand système corallien au monde, 75% des glaciers des Alpes suisses disparaîtront en 2050 avec réduction notable de l’approvisionnement en eau douce en Europe, risques d’inondation des sites du patrimoine de Londres, affaissement net de 54 cm de Venise avec risques d’inondations quotidiennes, augmentation de la température en Europe de 2,1 à 4,4 degrés pour 2080 avec une augmentation inquiétante de la mer, alors que la banquise arctique est en retrait quasi continu depuis trente années.

Puisse cette exposition jouer, aussi, son rôle de « prise de conscience », mais est-ce, vraiment, le souci de tous les décideurs politiques, industriels et scientifiques ?

Le manuel des jardins agroécologiques : soigner la terre pour mieux nourrir les Hommes

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L’association :

L’association Terre et Humanisme œuvre à la transmission de l’agroécologie, pour l’autonomie alimentaire des populations et la sauvegarde des patrimoines nourriciers. Elle est basée en Ardèche, au Mas de Beaulieu, lieu de formation, d’expérimentation et de production en agroécologie. Elle y organise des stages qui rassemblent chaque année plusieurs centaines de participants, elle y propose des visites du jardin et accueille des bénévoles durant neuf mois de l’année. À l’étranger, elle est présente dans plusieurs pays d’Afrique où elle travaille, toujours avec des associations locales, à promouvoir l’agroécologie, la lutte contre la désertification et la préservation des semences.

Le livre :

L’agroécologie est un ensemble de techniques agricoles respectueuses de la biodiversité, économes et efficaces même dans les conditions les plus difficiles, qu’il s’agisse de la région méditerranéenne ou du Sahel.

Dans cet ouvrage, s’appuyant sur leurs expériences de formateurs et sur leurs pratiques dans les jardins du Mas de Beaulieu, en Ardèche, ses animateurs présentent pas à pas l’approche agroécologique du potager et les savoir-faire nécessaires à sa conduite. Ils partagent leurs expériences agroécologiques ardéchoises et africaines, et témoignent de la transformation profonde qu’opèrent les retrouvailles avec la terre.



Aux éditions Actes Sud- FORMAT : 19,6 x 25,5 / 192 pages – Prix public : 29 € –

Date de publication : 2 mai 2012

Les principaux auteurs :

Valo Dantinne, jardinier et formateur à Terre et Humanisme

Pierre-François Pret, Ingénieur en agriculture et Directeur de Terre et Humanisme

et Erik Jansegers (Ingénieur agronome et jardinier-formateur à Terre et Humanisme), qui est interrogé dans cette chronique

Contacts :

Terre et Humanisme

Mas de Beaulieu BP 19

07 230 LABLACHERE

Tel : 04 75 36 64 01

infos@terre-humanisme.org

Vigie anti-nucléaire devant l’OMS : Interview P…Roullot

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Paul Roullaud a décidé de manifester depuis le 26 avril 2007 devant l’OMS à Genève. IL souhaite manifester contre la désinformation des divers organisme de santé devant les catastrophes nucléaires. Paul Roullaud explique : « C’est une action de vigilance silencieuse pour rappeler à l’Organisation Mondiale de la Santé, ses devoirs. Nous nous référons à Hippocrate qui a institué des règles éthiques pour les praticiens de santé. En ce qui concerne, la protection sanitaire des populations victimes des conséquences de l’industrie nucléaire, l’Organisation Mondiale de la Santé ignore ces règles.

Depuis le 26 avril 2007, les vigies d’Hippocrate se relaient devant le siège de l’OMS à Genève. Elles sont présentes tous les jours ouvrables de 8h00 à 18h00 pour rappeler à cette institution onusienne ses devoirs tels qu’ils sont notamment inscrits dans sa constitution.

Ecouter l’interview de Paul Roullaud.

Le diesel tue

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On croyait que le Diesel avait fini par devenir un polluant acceptable, ou tout au moins pas plus toxique que l’essence, grâce aux progrès de l’industrie.

Pourtant, l’association Airparif annonce que 45% de la po llution par les particules fines en milieu urbain proviennent encore, notamment en région francilienne, du trafic routier. Et que ces polluants sont produits pour moitié par les pots d’échappement de particuliers roulant au diesel.

D’où le signal d’alarme tiré par le président d’Europe Qualité Expertise dans un article du Parisien.

En effet, Bruno Guibeaud s’étonne de la bonne image que le Diesel a retrouvée après avoir été la cible des critiques dans les années 1970 et 1980.

Pourtant l’expert croit que pour en arriver à cette dédiabolisation, la publicité et les lobbys se sont employés à réécrire une histoire qui est loin de la vérité.

Dans la lutte contre la pollution des gaz d’échappement, on s’est concentré sur les émissions de CO2, responsables du réchauffement climatique. L’état français a donc mis toutes ses forces dans ce combat en favorisant le Diesel qui est particulièrement compétitif en la matière. Mais dans le même temps on a mis de côté le problème des particules fines, responsables des maladies graves.

Ce qui a ravi les constructeurs français, qui ont pu vendre des moteurs HDi et DCi en pagaille, et aujourd’hui deux voitures sur trois sont équipées d’un moteur diesel.

Mais on nous dit que Oui le diesel pollue, et même qu’il engendre des morts.

Bruno Guibeaud nous parle de 42 000. Oui 42 000 morts chaque année à mettre au seul crédit du Diesel.

Car celui-ci émet deux types de particules : des particules éliminables par les technologies récentes de filtre à particule, mais aussi des particules fines, d’oxyde d’azotes (NOx). Et celles là, le pot catalytique ne peut pas les piéger, car il ne fonctionne qu’à une certaine température jamais atteinte en ville. Pire, les moteurs diesel utilisés en agglomérations s’encrassent et émettent encore plus de particules fines.

Bruno Guibeaud compare même ce phénomène à la pollution par l’amiante, dont on n’a pas trouvé comment s’en protéger. Selon lui le diesel en ville serait une véritable bombe à retardement.

Les particules fines sont des résidus d’une combustion incomplète au sein des moteurs diesel. Elles sont responsables de maladies du système respiratoire : les spécialistes parlent de crises d’asthme, de rhinites ou de maladies bronchiques pour les plus légères; et de cancers pulmonaires ou des bronches pour les plus graves.

D’ailleurs si PSA n’entend pas la chose de cette façon, Renault admet dans les colonnes du Parisien que la technologie de lutte contre les particules fines du diesel a atteint ses limites en milieu urbain.

L’appel de Bruno Guibeaud est salutaire car les voix des experts dans ce domaine sont rares à aller contre le Diesel, ou tout au moins à le remettre en question. Aidons-le à se faire entendre.

Le petit livre des arbres de Dominique Pen Du (Éd… du Chêne – Hachette)

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« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff.

Dans « Le petit livre des arbres » publié aux Éditions du Chêne – Hachette, on apprend que les arbres étaient là bien avant la présence humaine sur la terre, que, chaque jour, ils forment des paysages splendides, assurent le chauffage, sont un noble matériau de construction, nous offrent des fruits succulents… mais, aussi, qu’ils sont en danger dans certaines régions : pollutions et abattages intempestifs ne leur font pas de cadeaux !

Dans cet ouvrage comprenant la description simplifiée – sans pour cela être simpliste ! – de quelque quatre-vingts espèces (l’acajou, le bouleau, le cèdre, le chêne, le frêne, l’if, l’olivier, le pin, le sapin, le tilleul, etc. etc.), il y a, chaque fois, une très touchante illustration sous la forme d’un chromo.

Ce petit album illustré est aussi empli d’anecdotes et d’informations sortant de la routine. En voici trois exemples : Pourquoi le chêne est-il considéré comme le roi des arbres ? Pourquoi plantait-on des tilleuls autour des églises au Moyen Âge ? Pourquoi l’ombrage de l’if est-il considéré comme dangereux ?

L’arbre mérite toute notre reconnaissance et notre respect, ce livre nous le rappelle implicitement.

Le label « Notre village – Terre d’Avenir » récompense l’engagement local dans un agenda 21 !

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L’association nationale Notre village , basée en Corrèze, accompagne les communes rurales de moins de 3 500 habitants dans leur démarche de développement durable.

Elle attribue aux villages engagés dans cette démarche environnementale le label « Notre village, Terre d’Avenir ».

L’association accompagne aussi de manière concrète les communes et communautés de communes rurales dans l’élaboration d’un agenda 21, adapté à chaque territoire et aux spécificités locales.

Et oui, la mise en place d’un agenda 21 n’est pas réservé aux Conseils régionaux ou aux grandes villes, les territoires ruraux s’engagent aussi à « re »devenir des territoires durables.

Notre Village

Le clos Joli 19500 Meyssac

Tél : 05.55.84.08.70

Email : info@notrevillage.asso.fr

Désinformation sur les accidents nucléaires : Interview A… Katz

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Le premier forum de radioprotection s’est déroulé à Genève avec la collaboration de dizaines de scientifiques venus du monde entier pour exprimer leurs connaissances sur les problèmes de radioactivité touchant les populations. Nous écoutons l’interview de ALison Kats, membre du mouvement Independant OMS et membre de l’ONG People Health Movement… Elle dénonce du manque de cohérence des informations données par l’OMS lors des explosions de la centrale de Tchernobyl et de Fukushima…

Eau potable et assainissement : le bilan d’étape des Objectifs du Millénaire

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C’est en 2000 que les dirigeants de la planète se sont penchés sur le sort de l’Humanité. Lors de ce « Sommet du Millénaire », huit objectifs pour le développement ont été adoptés. L’un de ces objectifs était de réduire de moitié, d’ici à 2015, le pourcentage de la population qui n’a pas d’accès à un approvisionnement en eau potable ni à des services d’assainissement de base.

Actuellement, la moitié de la population des régions en développement ne bénéficie d’aucun assainissement, et l’approvisionnement en eau salubre reste un défi dans beaucoup d’endroits du monde.

Le combat pour une eau potable accessible par le plus grand nombre semblerait, selon l’ONU, en bonne voie. Dans la plupart des régions en développement, les objectifs pour 2015 devraient être atteints voir dépassés. Ils sont même une quasi réalité en Asie, en Amérique latine, aux Caraïbes et en Afrique du Nord.

C’est d’ailleurs en Asie du sud-est que les progrès sont les plus nets. L’accès à l’eau potable s’y est amélioré de près de 30% pendant la période 1990-2008, pour atteindre 86% de la population. En Afrique du Nord, c’est même 90% des habitants qui ont cet accès à l’eau.

La situation est toute autre en Afrique subsaharienne. Malgré une progression de 22% de la population couverte, sur la même période 1990-2008, seuls 60% des habitants sont desservis en eau potable.

Un constat beaucoup moins optimiste est à déploré en revanche pour l’Océanie, qui, avec une couverture de seulement 50%, n’a enregistré aucun progrès en 20 ans.

Il est à noter que c’est dans les zones rurales que la progression est la plus marquée. La couverture en eau potable y est passée de 60% en 1990 à 76% en 2008, comblant peu à peu l’écart avec les zones urbaines qui plafonnent depuis 20 ans à 94% de la population desservie.

Il reste tout de même à déplorer que cet accès à l’eau potable est freiné dans de nombreuses régions par les pollutions subies par les eaux souterraines. Les contaminations à l’arsenic comme au Bangladesh, ou celle au fluor, comme en Inde ou en Chine, représentent un grave péril pour les réserves en eau.

L’ONU souligne d’ailleurs qu’en dépit des efforts entrepris pour compiler des données mondiales sur la qualité de l’eau, il reste très difficile d’en mesurer le degré de sécurité.

Si l’accès à l’eau potable pour tous ne semble plus être un objectif irréalisable, il en va tout autrement en ce qui concerne l’accès à l’assainissement.

La planète n’atteindra pas la cible, en 2015, visant à diminuer de moitié le pourcentage de personnes dépourvues d’un assainissement de base.

On estime qu’en 2008, 2,6 milliards d’individus n’avaient pas accès à des installations sanitaires améliorées. Si cette tendance se poursuit, ce chiffre passera à 2,7 milliards d’ici 2015.

C’est en Asie du Sud et en Afrique subsaharienne où la carence est la plus criante. 64% de la population d’Asie du Sud n’a pas accès à un assainissement de base. La proportion est de 69% en Afrique subsaharienne.

Si les plus grands progrès en termes d’assainissement ont eu lieu dans les zones rurales l’écart entre zones urbaines et rurales reste énorme dans la plupart des régions du globe.

Au-delà des constats de l’ONU sur ces objectifs du millénaire, le Programme des Nations Unies pour le développement et le Fonds pour l’environnement mondial financent des projets pour faire aboutir ces défis…

C’est ainsi que dans l’archipel du Vanuatu, dans l’Océan Pacifique, l’île d’Efaté a pu voir arriver l’eau courante. Jusqu’à présent, les habitants ne disposaient que de sources naturelles situées à plusieurs kilomètres du village. Mais la salinité de ces sources ne cessait d’augmenter en raison de l’augmentation du niveau de la mer. Une situation qui n’était pas sans risque pour la santé des villageois.

Désormais, ils peuvent venir s’approvisionner à l’un des 75 points d’alimentation qui ont été installés.

De l’eau potable et un assainissement de base pour chaque être humain : un défi que compte bien relever l’ONU comme l’ensemble de ses objectifs du millénaire pour le développement. C’est d’ailleurs le slogan de l’organisation qui scande qu’« éliminer la pauvreté d’ici 2015, c’est possible ! »

Les Suisses roulent à l’éco-courant

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Conduire une voiture électrique, c’est bien. Mais la faire marcher avec un courant qui vient d’une centrale thermique c’est moins bien. Voire inutile.

Ça reviendrait à acheter des carottes bio qu’on aurait fait voyager depuis l’Australie.

C’est pourquoi nos amis suisses ont eu l’idée d’une vignette éco-courant nommée «Naturemade star».

En payant cette taxe, l’utilisateur de voiture ou de scooter électriques pourra les recharger avec de l’électricité produites à partir d’énergies renouvelables. Ce label est garanti par l’association pour une énergie respectueuse de l’environnement (VUE) installée à Zurich.

Mais il n’y a pas de réseau de production d’électricité ayant un circuit de distribution propre. Le client suisse ne se fait pas poser chez lui de nouvelles prises de courant desquelles sortiraient de l’électricité produites par les énergies renouvelables.

Donc pas de nouvelles prises. Et comme il n’est pas possible de faire le tri entre les électrons produits par les centrales à combustibles fossiles ou nucléaires et les centrales à énergie renouvelable, la différenciation est ailleurs.

Pour simplifier les experts suisses comparent le circuit de l’électricité à un lac qui serait alimenté par toutes les centrales du pays sans distinction.

En payant cette vignette, le consommateur renforce la production en énergie renouvelables, comme s’il choisissait d’investir dans l’éolien ou le solaire.

La vignette coûte 100 francs suisses pour parcourir 10 000 km en voiture avec de l’éco-courant.

Par ailleurs, un centime du prix d’achat de chaque kwh d’électricité labellisé est versé dans un fonds d’amélioration écologique.

Donc non seulement le consommateur suisse peut choisir de rouler à l’éco courant, mais en plus il impose aux producteurs d’énergie de mettre par exemple en place des passes à poissons et d’aménager les rives proches des centrales hydroélectriques.

Au final, en achetant votre courant labelisé naturemade star, vous vous assurez d’obtenir un courant électrique produit à 80 pour cent par une centrale hydraulique, 15 pour cent par des éoliennes, et 5 pour cent par des panneaux photovoltaïques. Ce qui vous fera réduire votre impact environnemental à 7g de CO2par kwh.

Et comme on ne recharge pas son véhicule électrique que chez soi, les Suisses ont déjà commencé à installer des bornes pour charger les batteries des véhicules en éco-courant.

Un expert suisse expliquait toutefois que pour l’instant la part des énergies renouvelables reste faible dans le mix énergétique hélvétique. L’objectif de la Confédération est de produire d’ici à l’an 2030 5,4 térawattheures d’éco-courant, soit 10 % de la consommation actuelle.

Les nouvelles énergies renouvelables ne peuvent pas résoudre tous les problèmes : même dans 20 ans poursuit cette expert, 90 % du courant devra encore être produit d’une autre manière.

Toine chef de Tribu par Arthur Masson (Éd…Racine)

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« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff.

Là, au cœur de la nature verdoyante, à quelques pas de Fumay-l’Ardennaise, voici le village de Treignes immortalisé sous le nom de « Trignolles » dont un certain Toine Culot fut le maire dans maints ouvrages d’Arthur Masson, un auteur de terroir comparé à Daudet et à Pagnol.

Il se définissait lui-même de la façon suivante : « Troubadour de la bonne heure, chantre des humbles beautés de mon pays… »

C’était l’époque où le chant du coq rythmait encore le travail des villages avec une vie s’écoulant au fil des saisons.

À Treignes, on perpétue cette ambiance à travers l’Espace Arthur Masson et, par exemple, la fidèle et touchante reconstitution d’une classe d’autrefois, c’est-à-dire de 1932.

Dans « Toine chef de Tribu » (Éditions Racine), il s’agit d’une histoire qui se déroule dès 1948, puis dans les années ’50 et ’60, avec des dialogues et déclarations savoureux.

Voici, comment Monsieur le Maire envoya paître l’un de ses vieux concitoyens pour qui il avait, cependant, beaucoup d’affection : « Le maïeur dit que si vous étouffez de manger, la perte ne sera pas grande et que cela fera toujours un vaurien en moins dans la commune. »

Réplique du vieux citoyen : « Il ne m’aura manqué que d’être maïeur pour gagner la médaille des propres à rien… »

Et, ainsi, il y en a plus de deux cents pages. De quoi passer quelques heures d’une détente agréable et, quelquefois, empreintes d’une douce nostalgie.